Biiip, le bip’ long

 

C’est l’histoire d’un biporteur long. Mais c’est aussi l’histoire d’un prototype pour un fleuron de l’industrie française, dont je me garderai de divulguer les secrets, même si j’aurais adoré. 

 

 

Un projet ambitieux

Le cahier des charges de ce vélo cargo était particulièrement serré, car il fallait qu’il puisse emporter BIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIP ou bien une BIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIP, tout en se gardant la possibilité de BIIIIIIIIIIIIIIIIP en BIIIIP, et évidemment, de BIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIP, comme tout bon cargo Miel d’Ours.

Par ailleurs, le client tenait à ce que le BIIIIIIIP soit placé BIIIIIIIIIIIIIIIIIIIP par rapport à BIIIIIIP.

Et vous vous doutez que ça n’a pas été si simple !

Ci-dessous vous observerez une vieille image qui n’a rien à voir avec ce projet.

 

cintrage des bases

 

Les aléas du direct

Après avoir réussi à réaliser une BIIIIIIIIIP pour  loger BIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIP, il m’a fallu aborder le sujet de la direction.

J’avais d’abord pensé reprendre le principe du Convivial ou du Complice, qui permet de tourner serré via une tringle, mais BIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIP.

Cette piste a donc été écartée, et j’ai réalisé une direction par câbles. N’ayant pas de tour à disposition, j’ai cintré-soudé-brasé-limé etc etc jusqu’à obtenir le résultat escompté, voire même un peu mieux.

 

 

Top secret de Polichinelle

Vous vous doutez bien qu’un tel projet ne restera pas secret bien longtemps, et que Le Monde autant que Wheelz et le Concentré vélo s’arracheront les interviews de la firme représentée par mon client quand elle aura levé le voile.

Plus généralement, pour être sûr-e-s de ne rien rater, abonnez vous au Concentré vélo, c’est gratuit, léger et hebdomadaire.